des sides dans l'histoire

voici quelques images collectées par ci par là

Hawaii 1938-1941
Une moto et une voiture latérale montrant la cinquante-cinquième artillerie dehors sur des manoeuvres.



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IRBIT est une petite ville en Sibérie occidentale, située sur les plaines mornes à l'est des montagnes d'Ural. Dans la place principale, il a une statue de Lénine que les capitalistes effrontés ont peint le rose.



Ce monument n'est pas la seule chose qui distingue Irbit : ses 43.000 résidents environ sont dits au propre, en Toto, environ 60.000 motos. Remarquable, en effet, pour un endroit avec un climat subarctique - brefs étés frais et hivers brutaux dignes d'une épopée de Boris Pasternak. Toujours, c'est une Mecque pour le motocycliste russe, avec deux écoles professionnelles pour la mécanique de moto, une université pour des ingénieurs de moto, un musée de moto, un rassemblement annuel énorme de cycliste - et l'usine où des motos vendues sous le nom d'Ural sont faites. Irbit est Daytona, Sturgis et Milwaukee tout roulés dans un. À un marché qui semble avoir l'affection sans fin pour les machines nostalgiques, Ural apporte un produit intéressant : motos sidecar-équipées qui recherchent tout le monde comme le cru BMW. (Ce n'est pas une coïncidence.) Les vélos offrent un mélange curieux de technologie moderne, comme un frein à disque avant, et de rétros contacts, comme les roues disponibles et gaz-peuvent des porteurs ; certains ont une roue actionnée sur le sidecar, un objet façonné de service militaire. Prix dans le dessus des Etats-Unis dehors légèrement au-dessus de $10.000. Comment est-ce qu'Irbit, un avant-poste balayé par le vent congelé sur la steppe est devenu un ciel russe de cycliste ? Blâmez le Barbarossa, le nom de code pour l'invasion allemande en juin 1941. C'est quand Stalin a déclaré la moto fabriquant une industrie stratégique de temps de guerre et a décidé de l'avoir déplacé hors de Moscou, où elle serait vulnérable aux bombardiers allemands, à un endroit environ aussi accessible que le côté en noir de la lune. Irbit ferait bien.
Soutenez alors, la Russie avait commencé tout récemment à fabriquer ses propres motos, basé sur des conceptions achetées ou volées (selon quel côté raconte l'histoire) de ses alliés d'autrefois, les Allemands. BMW, un fabricant de moteur d'avions dès la Première Guerre Mondiale, a été empêché par les limites du Traité de Versailles de fabriquer la plupart de matière militaire ; il n'y avait aucune règle, cependant, au sujet de concevoir des armements. Et BMW avait créé une moto R71 vigoureuse avec un sidecar qu'il la pensée était parfaite pour l'armée russe - perfectionnez parce que BMW également avait secrètement conçu un modèle supérieur pour l'usage allemand. La version russe du R71 s'est appelée le M-72. À un certain point après que le tir ait commencé, les Russes ont réalisé qu'ils avaient été eus sur l'affaire de moto. Pendant que la marée de la deuxième guerre mondiale tournait, ils ont arrangé les points en marchant directement à Eisenach, à l'usine de BMW, où la chaîne de montage R75 entière a été démontée. Les machines ont été transportées à Irbit et reconstruites, boulon par le boulon. Depuis lors, plus de 3.2 millions de Monts Oural, avec leurs sidecars lourds de signature, ont été produits. L'Ural, parfois désigné sous le nom de la jeep de la Russie, était une agrafe rouge d'armée jusqu'aux années 50 en retard ; après ce, Ural s'est concentré sur servir un marché civil affamé pour ses modèles de militaire-force. Pendant des décennies, Ural a apprécié une part de 100 pour cent sur le marché intérieur sous le système communiste, et jusqu'à 130.000 motos par année ont été produites. Mais l'effondrement de l'Union Soviétique également a fini l'ère des subventions. Le vrai coût de fabriquer un Ural était trop haut pour concurrencer les vélos bon marché d'Asie. La demande s'est fanée, mais n'est pas morte. Pendant qu'Ural continuait le rétrécissement, a ainsi fait sa main-d'oeuvre. À un point, les employés restants ont traîné la chaîne de montage morceaux à un petit bâtiment non chauffé et éprouvé pour reprendre la production utilisant les générateurs diesel. Quand le carburant s'est épuisé, le travail a continué par lueur de chandelle. Les spécialistes du capital-risques russes ont sauvé l'entreprise à son heure plus foncée, en hiver de 2000-1, étant d'accord sur de nouveaux investissements. La compagnie s'est fermée pendant six mois pour se rééquiper, reprenant vers la fin de 2001. Les ventes annuelles ont stabilisé à environ 2.000 mondiaux. L'Ural courageux a attiré un consacré, si minuscule, dans le monde entier suivant des cavaliers dessinés au son vont-n'importe où, faire-quelque chose dureté et le sidecar omniprésent. Les Monts Oural offrent également une capacité peu commune d'entraînement de deux-roue ; avec une chiquenaude de deux ou trois leviers, la roue sur le sidecar joint la moto arrière roulent fournir dedans la puissance. Ensemble, ils peuvent tirer un Ural hors du terrain assez méchant pour snag un camion de four-wheel-drive.