PASSION-3-ROUES ( SPYDER22) venez partager avec moi l'histoire de ces droles de vehicules |
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| du reve pour les vacances | |
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Admin Admin
Nombre de messages : 2316 Age : 69 Localisation : yvias (22) Emploi/loisirs : internet Humeur : toujours bonne Date d'inscription : 31/03/2008
| Sujet: du reve pour les vacances Lun 24 Nov - 10:05 | |
| tiens juste pour le reve Si vous pensiez avoir fait le tour des destinations soleil, voilà cinq stations balnéaires qui redéfinissent l’idée même de voyage dans le Sud, d’une île mexicaine artificielle à un atoll portoricain reconquis. Armé de votre maillot de bain et de votre appareil photo, laissez-vous séduire par ces paradis insoupçonnés. Saint-Domingue... Well... C’est sans doute l’endroit le plus séduisant au monde. Je me faufile dans la cour du Liquid, une boîte de nuit du vieux quartier colonial. Le ciel est si noir et l’air si embaumé que je me retiens d’expirer. Le temps est aux tenues légères et de splendides femmes à la peau couleur café, portant minuscules bain-de-soleil, jeans serrés et talons aiguilles, ondulent des hanches et se balancent au bras de leur partenaire attentionné au son du mérengué. À l’intérieur, des canapés blancs invitent les amoureux à mieux se connaître. Le Bobo, un autre club à proximité, propose même des lits pour paresser à l’horizontale. Qu’ils aient 20 ou 50 ans, ce soir, tous les couples ont l’air jeune et amoureux. J’ai commencé ma journée avec un Panini au jambon et un espresso tassé de l’antique machine de La Cafetera, un casse-croûte décati mais charmant (le parrain lui-même y aurait pris son déjeuner chaque jour qu’il tournait The Good Shepherd). Il paraît que la sulfureuse Angelina Jolie et son partenaire Matt Damon ont eu, comme moi, une chambre dans l’élégante demeure de 500 ans arborant maintenant l’enseigne du Sofitel Nicolas de Ovando. L’histoire, on la sent partout. C’est ici que Christophe Colomb a posé le pied sur le sol du Nouveau Monde. À l’Altar de la Patria, près des fortifications de la vieille ville, des écoliers aux grands yeux bruns écoutent fièrement l’histoire des pères fondateurs espagnols, italiens ou autochtones. Le club de jazz latin El Rincón de la Zona est situé dans l’édifice même où les premières pièces de monnaie de l’Amérique du Nord ont été frappées. Je sirote un soda froid à la terrasse d’un café situé près de la première rue des Amériques, Calle Las Damas, devant la cathédrale Santa María la Menor (la plus vieille des Amériques). Je me sens un peu étourdie après ma visite à la fabrique de cigares. Est-ce l’odeur grisante du tabac ou bien la lettre de Bill Clinton sur le mur, dans laquelle il adresse ses compliments pour les barreaux de chaise que Hillary lui a ramenés ? Pour le dîner, rien de tel qu’un cangrejo guisado (un ragoût de crabe servi avec riz et fèves) au Mesón d’Bari, entourée d’œuvres d’art dominicain et d’hommes d’affaires, d’avocats et d’ambassadeurs, une autre combinaison enivrante. À l’heure de l’apéro, rhum Brugal Siglo de Oro à l’hôtel El Embajador, sur le Malecón, là même où l’illustre séducteur Porfirio Rubirosa a conquis sa future épouse, Flor de Oro Trujillo, la fille du dictateur. Je dîne, mais pas avant 21 h, comme il se doit, à la terrasse d’un restaurant sur la Plaza de España, dans le quartier colonial, face au resplendissant Alcázar de Colón (où le fils de Christophe Colomb, Diego, a vécu quelques années). Un concert de musique latine convie les corps aux déhanchements. L’appel de la danse est irrésistible. Tard dans la nuit, dans ma chambre aux poutres protubérantes, je ferme enfin les volets en bois. Quand je les rouvre le lendemain matin, j’aperçois de l’autre côté de la rue de jeunes soldats hissant le drapeau dominicain devant le Panteón de la Patria, en l’honneur des héros de la nation. Cet endroit vous rendra vraiment la jeunesse et la passion, huh! Où loger : -El Beaterio Guest House, avec ses lits de fer à baldaquin rouge d’influence mauresque, est la cachette idéale pour un week-end en amoureux. Calle Duarte No. 8, Zona Colonial, 809-687-8657, elbeaterio.com -Splendidement restauré, le Sofitel Nicolas de Ovando respire le luxe d’un château médiéval. La cour du restaurant est aussi ravissante. Calle Las Damas, Zona Colonial, 809-685-9955, sofitel.com -À l’Occidental El Embajador, l’ambiance à la piscine évoque la Havane des années 1950. On trouve aussi jardins, courts de tennis et spa de jour sur la vaste propriété. Av. Sarasota 65, 809-221-2131, occidental-hoteles.com Où se restaurer : -Selon les Dominguois, la meilleure table au pays est celle du Mesón d’Bari. Selon nous aussi. Calle Hostos 302, 809-687-4091 Quoi faire : -Le secrétariat d’État au Tourisme offre des visites personnalisées de la zone coloniale (ou de n’importe quel site dominicain), comme celle où l’excellent Carlos Batista nous a servi de guide. 809-221-4660, carlosbatista@sectur.gov.do-La vie nocturne débute tard et prend fin au petit matin. Arrivez avant minuit si vous avez des visées sur les épatants divans de ces salons-bars. Bobo’s Calle Hostos 157, 809-689-1183, bobosbar@hotmail.com Liquid Club and Lounge Calle Las Mercedes 155, 809-687-9745, liquidsantodomingo.com Pour s’y rendre -Dominican Republic Ministry of Tourism 888-494-5050, godominicanrepublic.com | |
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Nombre de messages : 2316 Age : 69 Localisation : yvias (22) Emploi/loisirs : internet Humeur : toujours bonne Date d'inscription : 31/03/2008
| Sujet: Re: du reve pour les vacances Lun 24 Nov - 10:07 | |
| Maui... Re-Well... Des airs à la Norah Jones jouent dans mes écouteurs alors que je survole le paysage luxuriant de l’Upcountry, ses champs de lavande, ses vignobles et ses fermes laitières. Survol du sommet du Haleakala, demi-tour au-dessus de Hana, le point le plus à l’est de Maui, puis retour dans les nuages au-dessus de la forêt tropicale. Seul le pare-brise de l’hélicoptère me sépare du ciel matinal. Vol stationnaire au-dessus de chutes d’eau particulièrement photogéniques ; Gernot, mon pilote, y va d’un virage à 180 degré; pour nous rapprocher : « L’angle de vue est meilleur », dit-il en souriant. De retour sur terre, mon estomac vide guide mes pas vers les restaurants d’Old Lahaina Town (le côté Danse lascive de la luxueuse station balnéaire de Ka’anapali). Coup d’œil rapide sur la foule : beaucoup de lin blanc, de lunettes griffées et de fringues J. Crew. Si Waikiki, sur l’île voisine d’Oahu, est le quartier général des branchés dans la vingtaine, Maui attire une clientèle plus mûre. Il reste peu d’Hawaïens de souche, mais les gens d’ici (dont de nombreux Philippins et des Américains fuyant la ville) honorent la culture du Pacifique Sud avec un panache tout occidental. Luaus nocturnes, danseurs de hula, colliers de fleurs, sans oublier les fameuses chemises, sont autant d’attraits pour les touristes. Ce qui m'intéresse, c’est l’essence d’Hawaii, et je la cherche à l’Aloha Mixed Plate, une similihutte polynésienne que Maui Magazine a récemment nommée « l’endroit le plus maui de Maui ». Je commande des pupus (hors-d’œuvre hawaïens) de crevettes à la noix de coco, puis l’assiette Ali’i (« chef », en langue locale), remplie à ras bord de porc apprêté de deux façons, d’une salsa de saumon et de tomate, de trois féculents (purée de taro, salade de macaroni et riz) et de haupia, une gelée à la noix de coco. Je fais passer le tout avec un POG, mélange de jus de fruit de la passion, d’orange et de goyave, ma nouvelle boisson favorite. Au ranch Ironwood, on me présente Kurt Russell, le cheval. (Goldie Hawn et Michelle Pfeiffer répondent aussi à l’appel.) « Montrez à votre monture qui est la Maîtresse, lance mon guide, Ra. Ces champs sont un immense buffet à salades pour ces bêtes ; si vous les laissez brouter, vous n’irez pas très loin. » Mais Kurt est doux et obéissant, et je lui gratte le cou pour lui montrer que j’apprécie. À la nuit tombante, je m’envole à nouveau, mais cette fois-ci sous l’effet d’un massage traditionnel lomi lomi. Lentement, ma masseuse défait les nœuds de mon dos avec ses coudes et ses avant-bras. « Ça s’appelle voler, dit-elle. Quand vous sortirez d’ici, vous aurez l’impression de ne plus toucher terre. » Soixante minutes d’extase plus tard, je flotte dans la nuit hawaïenne, l’air salé du Pacifique emplit mes poumons, la brise tiède caresse ma peau et, en effet, je suis à présent un peu plus près du paradis. J'ai demandé à ma masseuse de me faire voler toute la nuit, et elle a accepté. Huh! Où loger : -Pour observer les plongeons quotidiens du haut des falaises, rien ne vaut un siège au Lagoon Bar du Sheraton Maui Resort. 2605 Ka’anapali Parkway, Lahaina, 808-661-0031, sheraton-maui.com -Admirez l’océan depuis la salle de relaxation du Westin Maui Resort & Spa, puis offrez-vous un massage en couple. 2365 Ka’anapali Parkway, Lahaina, 808-667-2525, westinmaui.com Où se restaurer : -Pour des aliments réconfort typiques, visitez Aloha Mixed Plate. -Les plus fines bouches opteront pour le David Paul’Lahaina Grill. -Aloha Mixed Plate 1285 Front St., Lahaina, 808-661-3322 -David Paul’s Lahaina Grill 127 Lahainaluna Rd., Lahaina, 808-667-5117, lahainagrill.com Quoi faire : -Blue Hawaiian Helicopters, l’entreprise qui a filmé Hawaii pour Le parc jurassique, offre la Cadillac des visites en hélico. 808-871-8844, bluehawaiian.com -Demandez le traitement lomi lomi (littéralement, « en purée ») au Hina Mana Salon & Spa. The Whaler, Ka’anapali Beach, 808-662-0887, hinamana.com -Parcourez à cheval les champs d’ananas d’Ironwood Ranch, niché dans les montagnes de West Maui. 808-669-4991, ironwoodranch.com Pour s’y rendre : -Maui Visitors Bureau 800-525-MAUI, visitmaui.com | |
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| Sujet: Re: du reve pour les vacances Lun 24 Nov - 10:08 | |
| Riviera Maya... Re-re-Well, well... La Riviera maya n’existait pas il y a 10 ans. Aujourd’hui, c’est la destination vacances la plus courue au monde. Clubs, hôtels et parcs thématiques se disputent ce petit bout de côte entre Cancún et Tulum et se rapprochent inexorablement de la frontière du Belize. Mon point de chute, c’est le Fairmont Mayakoba : île artificielle, lagons dans la mangrove, 400 chambres au moins, un parcours de golf à se damner, des pélicans au-dessus des têtes et un paysage parfaitement bichonné aux confins de la jungle… Ça fait beaucoup. Petit tour à la plage. L’air salé des Caraïbes a son effet hallucinogène. Un plouf dans la mer, un cri : « Elle est aussi chaude qu’à la piscine ! » Plus tard, je fais trempette dans deux piscines trop éloignées l’une de l’autre, j'ai besoin d’une voiturette de golf pour m'y rendre (pas d’autos ici, que des bicyclettes, des voiturettes de golf et des lanchitas, sortes de petits bateaux). Puis, doigts de poulet, taco au poisson et Tequila Loco. Puis je file au spa pour un sauna suivi d’une douche suisse, d’un petit tour au jacuzzi, d’un soin exfoliant à la papaye et d’un massage. Régénérée, je retourne au centre. Glissade et reglissade. Autre petit tour à la plage, je découvre des trous laissés dans le sable par les crabes fouisseurs et baptise l’endroit le Club des crabes Mayakoba. Tout en m’assurant de rester à distance respectueuse des crabes, je rejette des poissons morts à la mer, pour « les aider à vivre », et inspecte les débris flottants. Le soir venu, j'opte pour le poisson au menu, que je dévore. Plus tard durant mon séjour, flotteur vivant dans le roulis de la mer des Caraïbes, je réalise à quel point je suis heureuse, et quelle sérénité j'ai trouvée ici. Je jouis sur une chaise longue, le nez dans le bouquin de Patrice "Les Protocoles de Sion"... C’est le meilleur endroit au monde ! En relevant la tête après avoir terminé un chapitre, je pense à ma prochaine Tequila Loco. Hun! Où loger : À 45 minutes au sud de Cancún, le nouveau Fairmont Mayakoba est la pièce de résistance d’un immense complexe. Avec quatre restos, trois bars, quatre piscines, un spa sur deux étages et une plage de sable blanc à perte de vue, le terme « tout inclus » prend ici un nouveau sens. En février, le golf de 18 trous El Camaleón accueillera le premier tournoi de la PGA au Mexique. Où se restaurer : -Les quatre restaurants du Fairmont Mayakoba sont si différents que même le code vestimentaire varie, entre complet-cravate et maillot de bain. Rien n’est plus plaisant que faire trempette au bar de piscine Aqua en sirotant un Tequila Loco, le cocktail distinctif du complexe. Le homard du restaurant El Puerto est si frais qu’il semble prêt à se sauver. Pour un dîner décontracté en bord de mer, essayez les tacos de poisson au menu du restaurant et bar-salon Las Brisas. La grilladerie et bar La Laguna, le resto le plus central du complexe, propose un immense buffet du matin (mariachis compris). Quoi faire : -L’immense spa Willow Stream du Fairmont Mayakoba propose piscines sur le toit, gamme complète de traitements, jus de fruits fraîchement pressés et conciergerie de vestiaire hors pair. -Fairmont Mayakoba Ctra. Federal Cancún-Playa del Carmen, Solidaridad Quintana Roo, 984-206-3000 or / ou 800-257-7544, fairmont.com/mayakoba Pour s’y rendre : -Cancún Convention and Visitors Bureau 52-99-881-2745 cancun.info | |
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| Sujet: Re: du reve pour les vacances Lun 24 Nov - 10:09 | |
| Porto-Rico-Vieques... Re-re-re-Well-well-well... Loin des plages et des hôtels, je me balade dans une rue tranquille et fais sursauter des poulets qui traînent dans les buissons. Je remarque un jardin dont l’aménagement est constitué d’un rocher aussi gros qu’une minifourgonnette. Bienvenue à Vieques, la cambrousse des Antilles, le genre d’endroit où, si ce n’était des VUS et autres berlines rutilantes qui filent à toute vitesse, on se croirait en pleine téléréalité. Calé sur un atoll, entre les plages de Culebra et le tumulte de l’île de Porto Rico, Vieques est en partie territoire inexploré, en partie nouvelle destination vacances de luxe. Le premier hôtel W des Antilles y ouvrira en 2008 ; quelques bonnes tables attirent déjà les vacanciers américains qui possèdent une propriété sur l’île. Malgré les récents développements, l’île n’a pas perdu son côté sauvage. Sur ce qui était une base militaire américaine jusqu’en 2003, des chevaux sauvages galopent en toute liberté. Mon chauffeur (les autos de location sont rares) fait jouer dans le tapis son reggaetón, sorte de pop latino mâtinée de dancehall. Le temps n’a pas de prise sur lui : au beau milieu de la route, il arrête sa vieille fourgonnette pour répondre au cellulaire. Un peu plus loin, nous ramassons un groupe de joyeux musiciens en tenues assorties que l’on dépose au ferry. Finalement, nous atteignons Hix Island House, une enclave de béton au cœur d’une petite jungle (l’île ne fait que 37 km de long) due à l’architecte canadien John Hix. Les lofts ouverts sur la nature sont dotés d’un ingénieux système de persiennes qui protègent du mauvais temps et laissent entrer le vent frais (et, à l’occasion, un oiseau). C’est un peu comme une colonie de vacances, sauf qu’ici on dort dans des draps Marimekko. Devant des tapas au très moderne hôtel Bravo Beach, entre les résidences de luxe et le modeste village d’Isabel Segunda, je distingue de l’autre côté de la baie les lumières de San Juan. Jamais la ville ne m’a paru aussi loin. Sur une route cahoteuse, je croise des chevaux dans un champ ; ils se relèvent mollement, leurs yeux pleins de sommeil éblouis par les phares. Loin des hôtels-boutiques et des restaurants mondains, me voici à Mosquito Bay. Je commence à regretter de ne pas avoir regardé Survivor plus souvent. Dans un moment, je ferai trempette dans la baignoire de ma suite, mais pour le moment je fais du kayak dans la bioluminescence de la baie avec mon guide, Abe, un solide gaillard (la version bronzée de M. Net). Après les secousses des vagues près du rivage, nous ramons dans la baie, laissant dans notre sillage des traînées de lumière d’un bleu éclatant. Une infinité d’organismes (il y a orgasme là dedans, mummmm) illuminent ces eaux et font comme une aurore boréale dans l’océan. En ce samedi soir au milieu de nulle part, le cellulaire d’Abe sonne non-stop. (Il en a déjà perdu quatre dans ce lagon.) Nous nous aplatissons contre nos kayaks et glissons sous les racines de palétuviers. D’étranges oiseaux passent au-dessus de nos têtes, noirs objets volants dans la nuit. Je trempe ma main dans l’eau, la regarde s’illuminer faiblement. Vieques by night, c’est quand même autre chose. Huh! Où loger -L’architecte canadien John Hix a dessiné la très écolo Hix Island House, dotée de panneaux solaires et d’un système de recyclage des eaux usées au jardin. Cette enclave de 5 ha propose un camping de luxe avec la climatisation naturelle des alizés. 787-741-2302, hixislandhouse.com -En 2008, le premier hôtel W des Antilles sera inauguré sur le site actuel du complexe Martineau Bay (ci-contre). (Un nouveau St. Regis ouvrira aussi ses portes en 2008, sur l’île de Porto Rico, à 15 minutes en avion.) Martineau Bay Resort & Spa State Rd. 200, 787-741-4100, starwoodhotels.com/martineaubay -Ancienne hacienda, le Bravo Beach Hotel allie design moderne et décontraction de surfeur. 787-741-1128, bravobeachhotel.com Où se restaurer : -Ne ratez pas la cave (dégustations tous les soirs) du bbh, un restaurant d’hôtel cool. Avec votre vin, grignotez à votre rythme des tapas, en vous délectant de la vue sur San Juan brillant de tous ses feux au-delà de la baie. 787-741-1128, bravobeachhotel.com -Si vous faites une halte à San Juan, essayez la cuisine Nuevo Latino de ces tables. Ajili Mójili 1006 Ashford Ave., Condado, 787-725-9195 DragonflyToo 364 Calle Fortaleza, Old San Juan, 787-977-3886 Parrot Club 363 Calle Fortaleza, Old San Juan, 787-725-7370 Quoi faire : -Conteur (et joueur d’ukulélé) hors pair, le guide kayakiste Abe Velasquez vous fera découvrir la bioluminescence du Puerto Mosquito. La randonnée de 90 minutes coûte 34 $. Abe’s Snorkeling & Bio Bay Tours 787-741-2134, abessnorkeling.com Pour s’y rendre : -Cape Air 508-771-6944, flycapeair.com -Puerto Rico Tourism Company 800-667-0394, gotopuertorico.com | |
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| Sujet: Re: du reve pour les vacances Lun 24 Nov - 10:11 | |
| Les Keys... Re-re-re-re-Well-well-well & well ! Température de l’eau : 28 °C ; localisation : au large d’Islamorada, un des Keys de la Floride. Je flotte tout en lorgnant des filles extraordinaires et des mecs qui le sont tout autant, à peine vêtus, posant sur le rivage. La plage du Moorings, une ex-cocoteraie, a déjà servi de toile de fond aux photographes Vogue et consorts. Pas étonnant : transposez les Caraïbes au cinéma, et vous avez Islamorada, où tout le monde parle anglais (avec l’accent traînant du Sud) et où l’on ratisse les algues tous les matins à l’aide de voiturettes de golf. Le doigt tendu vers un oiseau superbe, j’interpelle le type des repérages qui se prépare pour la prochaine séance. « Un pélican », répond-il distraitement, comme s’il s’agissait d’un accessoire. Difficile de croire que la Route 1, qui relie ces îles comme une guirlande lumineuse, n’est qu’à cinq minutes à pied. Sur fond de cocotiers, le kitsch exubérant des motels des années 1950, de homards géants et de panneaux annonçant : « Toilette volée retrouvée, police soulagée » jalonne les 200 km de cette route, grâce à laquelle vous ne mettrez pas plus de temps pour passer d’une île à l’autre que pour aller au dépanneur. La cohabitation de la magnificence tropicale et de la culture routière américaine forme l’essence de l’endroit, décrit par un résidant comme étant « au sud de la réalité ». Dans les Keys les plus au sud, là où la route n’est qu’une étroite bande entre l’étendue turquoise du golfe du Mexique et l’océan Atlantique tout aussi turquoise, j'ai l’impression de traverser la mer Rouge. Après la traversée vertigineuse du Seven Mile Bridge et les secousses d’un antique hors-bord, me voici sur Little Palm Island pour le brunch. De la salle à manger du domaine hôtelier, j'aperçois d’étonnants chevreuils (à l’âge adulte, l’espèce indigène ne dépasse pas la taille d’un gros chien) en train de grignoter l’exorbitante végétation. Ce petit paradis de 2 ha ne peut accueillir que 100 clients ; or, par un de ces hasards improbables, il faut que l’un d’entre eux soit le batteur occasionnel des Beach Boys John Stamos, que je croise au Tiki Bar. Aurais-je découvert le mythique Kokomo ? Je ne sais, mais je vais passer une nuit d'extases avec lui... Censuré... Huh! Quand George Bush père vient à Islamorada, surnommée capitale mondiale de la pêche sportive, c’est pour taquiner le tarpon et le makaire. Moi, c’est de jouir la nuit et de nager le jour avec les poissons qui me fait envie. À 6 km au large de Key Largo, mon bateau jette l’ancre tout près du dernier récif de corail vivant des États-Unis. Me voici à admirer des bancs de vivaneaux et de poissons violets aux reflets irisés qui se sont échappés du Canal D. Plus tard, devant un appétissant vivaneau du resto Kaiyó, servi en croûte aux oignons, ma compagne végétarienne draguée au bord de la piscine, après un bref instant de culpabilité, cède à la tentation. Elle cèdera plus tard à la tentation de me grignoter moi, mais c'est une autre histoire... Huh! Le coucher de soleil à Islamorada est si spectaculaire qu’il est au programme tous les jours, aussi typique que toutes ces babioles qui, du T-shirt à la glacière à bière, vantent la beauté des Keys. Mon point d’observation favori est le Pierre’s, où l’on peut boire un martini au melon de la couleur du ciel. Le mot de la fin revient à ce panneau vu à Little Palm Island : « Chose à ne pas faire : oublier de se relaxer. » Où loger : -On doit l’ambiance décontractée du Moorings Village, un complexe ultraprivé de 18 villas, à Hubert Baudoin et à ses jours de pro de la planche à voile. 123 Beach Rd., Islamorada, 305-664-4708, mooringsvillage.com -Les « chalets » au toit de chaume du luxueux Little Palm Island Resort & Spa évoquent le Pacifique Sud, mais sont des plus modernes à l’intérieur. Pour une expérience savoureuse, attaquez-vous aux maintes petites assiettes du brunch du dimanche. 28500 Overseas Hwy., 800-343-8567, littlepalmisland.com Où se restaurer : -Les fusions culinaires sont une spécialité des Keys. La florido-antillaise pare de jus de citron vert et d’une touche antillaise les poissons locaux. (Essayez les moules au cari vert et à la noix de coco du Butterfly Café.) Le légendaire Green Turtle a rouvert cet automne et sert toujours ses mariages tordus de fast-food gastronomique. Kaiyó incarne la cuisine florido-asiatique. Chez Pierre, les cocktails sont incontournables. -Butterfly Café (at / à Tranquility Bay) 2600 Overseas Hwy., Marathon, 866-643-5397, tranquilitybay.com -Green Turtle 81219 Overseas Hwy., Islamorada, 305-664-2006 -Kaiyó 81701 Old Hwy., Islamorada, 305-664-5556, kaiyokeys.com -Pierre’s Restaurant 81600 Overseas Hwy., Bayside, Islamorada, 305-664-3225, pierres-restaurant.com -Les restes de bouillabaisse du Café Sole de Key West vont aux chats du commis débarrasseur. Les pauvres minous restent souvent sur leur faim… 1029 Southard St., Key West, 305-294-0230, cafesole.com Quoi faire : -Un cours d’initiation à Keys Diver Snorkel Tours et des palmes empruntées vous lanceront en plongée libre vers les coraux de Pennekamp Park. Une heure de plongée au coucher du soleil coûte 29 $. 99696 Overseas Hwy., Unit 1, Key Largo, keysdiver.com -La bible du kayak dans les Keys, Florida Keys Paddling Guide, est l’œuvre de l’ex-photographe Bill Keogh. Un parcours d’une demi-journée avec lui dans les eaux de l’arrière-pays coûte 56 $. Big Pine Kayak Adventures 305-872-7474 or / ou 877-595-2925, keyskayaktours.com Pour s’y rendre : -Florida Keys Tourism Council fla-keys.com -Florida Tourism Industry Marketing Corporation visitflorida.com | |
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